La Commission scolaire des Chênes vit un retour à la normale, à la suite du virus qui affectait son réseau informatique depuis la mi-septembre. Les membres du personnel ont donc accès aux différents outils et applications technologiques dont ils ont été temporairement privés au cours des dernières semaines.
« La problématique que nous avons vécue a donné lieu à une opération d’envergure. D’emblée, je tiens à remercier nos quelque 2 000 employés pour leur bienveillance, leur compréhension et, surtout, leur patience. Nous sommes bien conscients que chacune et chacun ont dû faire preuve d’adaptation et de débrouillardise dans les circonstances. Tout le monde a mis l’épaule à la roue et j’en suis très fier. Bien sûr, il faut saluer tous les membres de l’équipe du Service des technologies de l’information (STI), en commençant par son directeur, M. Claude Dufour. Ils ont déployé des efforts colossaux, presque sept jours sur sept, pour rétablir la situation, rebâtir notre réseau et s’assurer que notre personnel reçoive le service auquel il est en droit de s’attendre. Nous leur en sommes très reconnaissants, » de dire le directeur général de la Commission scolaire des Chênes, M. Lucien Maltais.
Bien que le STI procédera encore à quelques interventions dans les différents services et établissements au cours des semaines qui viennent, on peut donc affirmer que cet incident est chose du passé. Par ailleurs, si les premiers signes du virus se sont manifestés à la mi-septembre, il importe de préciser que la « remise en service » du réseau, des applications et des différents postes de travail s’effectue de façon graduelle depuis plusieurs semaines déjà.
« Compte tenu de la somme considérable d’interventions effectuées par le STI, il n’est pas impossible que nous vivions quelques soubresauts momentanés de nature technique à court terme, ce qui est normal dans les circonstances. Le STI posera alors les gestes utiles. Il faut comprendre que tout a été passé au peigne fin : serveurs, postes de travail, applications, accès au réseau et j’en passe. Des ajustements pourraient encore s’avérer nécessaires dans certains cas. Ce que je retiens, au bout du compte, c’est que nous ressortons grandis de cet épisode et mieux outillés pour faire face à l’avenir, » conclut Lucien Maltais.