C’est récemment, à l’Hôtel et Suites Le Dauphin, qu’on a procédé au premier segment de la remise des Bourses Gilbert Guérette, en présence de plusieurs membres du Club Rotary de Drummondville, des élèves boursiers, des conseillères en orientation et du représentant de la Commission scolaire des Chênes.
On se souviendra qu’en 2008, le Club Rotary de Drummondville a créé les Bourses Alonzo-Malouin, à l’initiative de ce Rotarien émérite. En 2012, ce dernier a transmis le flambeau à l’homme d’affaires Jules Blanchet, et depuis 2016, la famille Guérette assure la pérennité du programme.
Ces bourses visent à mettre en évidence l’excellence académique, de même que l’engagement bénévole et social des élèves qui choisissent la formation professionnelle (FP), dans le cadre d’un diplôme d’études professionnelles à la Commission scolaire des Chênes. La Commission scolaire des Chênes et le Club Rotary de Drummondville s’unissent pour féliciter tous les lauréats de cette édition des Bourses Gilbert Guérette.
De l’école Jean-Raimbault, les boursiers sont Yohan Pelletier (400 $) et Annestesia Pitre (200 $). Pour l’école Marie-Rivier, il s’agit de Laura Blanchette (400 $) et de Raphaël Newby-Mauger (200 $). À l’école La Poudrière, ce sont Kassandra Guévin (400 $) et Élisabeth Lemaire (200 $). De l’école Jeanne-Mance, Josiane Yargeau (400 $) et Frédérick Cloutier (200 $). Et finalement, du Centre de formation aux adultes Sainte-Thérèse, Ronald Corso Tapias (400 $) et Demama-Balose Tshilolo (200 $).
Cinq de ces boursiers (un par école), devaient faire un exposé afin de mériter des bourses supplémentaires. Des juges du Club Rotary ont délibéré et les gagnants furent : en 3e position, Laura Blanchette de l’école Marie-Rivier, en deuxième position, Josiane Yargeau de l’école Jeanne-Mance et méritant la première place, Ronald Corso Tapias du CFGA Sainte-Thérèse.
La commission scolaire réitère à la famille Guérette et à tous les Rotariens sa gratitude pour cette noble initiative dédiée aux élèves qui ont choisi la formation professionnelle comme voie d’avenir. Il est heureux qu’une organisation comme le Club Rotary mette sur pied un projet visant à les reconnaître et à les encourager.
