Depuis le 8 décembre, le nom de Nathalie Boucher orne une nouvelle plaque sur le Mur de la culture de l’école secondaire Jean-Raimbault. Après le chanteur David Marin, le journaliste Jean-Patrick Balleux, le skieur acrobatique Pierre-Alexandre Rousseau et le fantaisiste Michel Lauzière, voilà qu’une première dame s’ajoute à ce club très select de modèles pour la jeunesse. D’ailleurs, Nathalie a profité de l’occasion pour faire bénéficier généreusement nos jeunes basketballeurs d’une session gratuite d’entraînement. Elle a su les charmer, imposant le respect avec son charisme et son savoir-faire.
Oui, la grande Nathalie Boucher, 6 pieds 2 pouces, était prédestinée à une brillante carrière au basketball! Après être devenue pendant 5 ans joueuse étoile pour le Rouge et Or de l’Université Laval, cette drummondvilloise a poursuivi son chemin pour transmettre sa passion aux jeunes. Elle exerça le plus beau métier du monde; entraîneuse.
En effet, elle a dirigé les équipes des Ékinox de Jean-Raimbault, des Harfangs du Triolet, des Volontaires du Cégep de Sherbrooke (collégial AAA), des Lady Gaiters de l’Université Bishop à Lennoxville et, bien sûr, des Équipes Jr du Québec. Aujourd’hui, cette technicienne en arts graphiques continue de mettre en valeur les réalisations sportives, culturelles et artistiques des étudiants de l’école secondaire Le Triolet de Sherbrooke.
J’espère que tous retiendront cette citation que nous laisse ce beau modèle sportif de vie pour les jeunes qu’est devenue Nathalie Boucher, entraîneuse de basketball:
«Au-delà des dates, des nombreux championnats, des titres provinciaux, des trophées, des bannières et des performances, ce dont je suis la plus reconnaissante, c’est d’avoir pu partager le quotidien de ces élèves-athlètes, coéquipières et collègues dans la poursuite d’un but commun, l’excellence! Et ce, en exigeant toujours le meilleur de soi-même et des personnes qui les entourent».
Il y a des années où aucun championnat n’a été gagné, mais où un élève a terminé ses études au niveau secondaire grâce au sport. Une athlète a reconstruit sa confiance en elle, et un autre encore a compris l’importance d’être un bon coéquipier. Prendre part au développement d’un athlète, mais surtout d’une personne, c’est vraiment valorisant. Voilà pourquoi je fais le plus beau métier du monde.
Chère Nathalie, ici, nous sommes tellement fiers de toi et que tes premiers pas de basketballeuse furent avec les EKINOX de l’école secondaire Jean-Raimbault!
Saches que tu seras toujours une source d’inspiration dans notre grande famille à l’école Jean-Raimbault.